Réflexion #3 : La force maximale et sa place dans le développement athlétique

En tant qu’athlète & joueur de sport collectif, les actions rapides/explosives que tu peux réaliser sur le terrain demandent du relâchement.

Or, la musculation lourde peut limiter ta capacité à totalement relâcher un muscle. #tropdeprogrèstueleprogrès👇🏼

Il existe bien entendus de nombreux bénéfices à faire grimper la force Max (si on ne parle que d’elle) en salle de musculation ,mais il y a également de potentiels effets négatifs dont on parle peu. (Jamais blanc ou noir…qui es-tu en tant qu’athlète?quels sont tes besoins?).

🔹La force Max c’est assez « facile » à développer et de s’y réfugier. Les progrès sont réguliers et sont gratifiants – ne te trompe pas d’objectif…

C’est, entre autre, ce que peuvent mettre en avant Frans Bosch « strength training and coordination, an integrative approach » ou encore Joël Smith « speed strength »

Les actions sportives à grande vitesse nécessite une contraction rapide mais également une relaxation rapide (la différence entre haut et très haut niveau?).

Un entraînement typé sur la force maximale (et/ou des progrès trop important sur un temps très court?) peut interférer avec la coordination sur les mouvements à haute vitesse.

Une piste de mise en pratique terrain:

Mettre de pair tes mouvements « lourds » avec une forme ou une autre de mouvement à haute vitesse (contraste de charge) ou tout simplement faire de « l’hyperpralination »

A savoir finir ta séance ou ton bloc de séance sur un mouvement par des séries plus dynamiques comme des lancers de medball, des sprints, des bondissements pour te « rebrancher » en mode vitesse.

Bon test

Romain